Vice-versa

Il n’y a pas à dire.

L’on peut certes critiquer les américains sur beaucoup de points, mais, qu’on le veuille ou non, leur production cinématographique reste sans aucun doute la plus diversifiée et la meilleure du monde.

Les studios Pixar nous le rappellent dans Vice-Versa, qui, bien qu’adressé aux enfants à partir de l’âge de trois ans, interpelle tout autant les adultes.

Une petite fille, rentrant bientôt dans l’adolescence, déménage du Minnesota pour rejoindre San Francisco avec ses parents.

Mais voilà. Alors qu’elle était une enfant joyeuse et épanouie grâce à Joie qui commandait sa bonne humeur, voici qu’elle se met à déprimer à cause de Tristesse, sa deuxième voix intérieure, qui à force de toucher à ses souvenirs, les a rendus tristes.

Joie et Tristesse cherchent dès lors à sortir Riley de sa déprime.

S’ensuit une aventure rocambolesque dans le cerveau de Riley, dont des pans entiers de sa personnalité s’effondrent pour tomber dans l’oubli le plus obscur, pendant que Colère, Dégoût et Peur prennent le relais des commandes pour les remplacer.

Un film vraiment très bien conçu, qui, pour un adulte, pourrait être abordé d’un point de vue scientifique.

Mais également, bien évidemment, un film écrit pour les enfants, et d’une qualité remarquable.

Les images sont sublimes. Il en va tout autant de la musique.

En un mot, je ne pourrais dire qu’une chose : aller le voir en famille, ou, si vous ne le pouvez pas, allez le voir tout court.

Vous passerez un excellent moment, à n’en point douter ! J


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